
Le séjour et les passerelles durant une tempête.
Photo de Sophie
Je lève la tête, le ciel est blanc. Je baisse les yeux, le sol est blanc. Le monde extérieur est de couleur blanche. Tout est recouvert d’un blanc éclatant. Un blanc qui fait plisser les yeux. Un blanc qui éblouit et que l’on ne peut pas regarder en face. On n’ose pas l’affronter du regard, hormis caché derrière un écran.
Il est blanc gris, il est blanc jaune, il est blanc tout court. Il est doux et volant, il est tassé, il est cotonneux, il vole. Sous toutes ses formes, il est blanc.
Nous pouvons plonger dedans, y nager, y marcher, s’y battre, s'y essouffler. Il nous fatigue, il nous épuise. Nous parons du mieux que nous pouvons, nous chaussons nos grands pieds et nous le survolons.
Une autre facette de notre monde.

Une tête qui dépasse... le toit que l'on aperçoit, est le toit de BIOMAR.
Photo de Sophie
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